• ... Je ne vais pas m'absenter en vous abandonnant sur les tristes réalités du post d'Hôtel Rwanda, je vous laisse ce magnifique lever de soleil de ce matin, à dans une semaine ...  Mina, Lady Louve, Roserouge, Toula, Volcane, Pat, le Schti, Sascha etc...etc...


                                               

                        

                        

    Je vous embrasse tous très fort,

    Sas.



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  • Je l'ai vu hier soir, une fois de plus... 

    Il est tiré d'une histoire vraie.
    Le film est très romancé pour atténuer l'horrible réalité qui a eu lieu sur le terrain... pour nous sensibiliser, nous occidentaux sans trop nous choquer quand même... Il faut nous ménager...

    Comme bon nombres de conflits précédents, actuels et pour ceux à venir sur ce continent, je pense notamment à la Côte d'Ivoire qui y tend, doucement...

     ... On ne peut pas passer à côté!

    Les leçons à en tirer?
    Malheureusement, je crois que tout est un éternel recommencement, il suffit de reprendre les pages de notre histoire pour le constater...
    On ne peut que souhaiter que l'équilibre se rompe un peu, au profit d'un poids de plus dans la balance du côté de l'espoir et de la bonté ...

    Allez voir ce film ...
     

                                

     ''Témoignage bouleversant d'un drame

    Parce qu'il a fait preuve de sang-froid, de diplomatie et d'humanité afin de préserver la vie de sa petite famille, Paul Rusesabagina a fini par sauver celle de 1 200 personnes.

    HOTEL RWANDA, ou l'histoire d'un destin hors du commun mais réel, constitue une belle réussite cinématographique... Sa principale force ?  L'interprétation de Don Cheadle qui incarne,  avec justesse et conviction,  ce héros des temps modernes fort d'un sens de la diplomatie, d'un sang froid et d'une humanité à toute épreuve dans une barbarie généralisée. Jouer ce genre de destin est une aubaine pour tout acteur mais parvenir à l'habiter est une autre affaire.  A l'instar d'un Liam Neeson dans La Liste De Schindler,  Don Cheadle campe son personnage avec une foi inébranlable... sans pour autant éclipser la richesse des seconds rôles.

    Même s'il narre une histoire personnelle,  HOTEL RWANDA n'en a pas moins le souci de donner au spectateur des éléments historiques du génocide : les dates-clefs, le rôle des différents acteurs comme la milice,  le gouvernement,  la police,  etc... souvent par le biais de la radio que les personnages écoutent en permanence.
    Apre et bouleversant, le film lance également une diatribe contre l'inertie, et même l'indifférence de la communauté occidentale vis-à-vis de l'abomination. Les forces de maintien de la paix des Nations Unies réduites à peau de chagrin dans la poudrière rwandaise sont, pour leur part, à l'image du colonel Oliver (Nick Nolte),  valeureuses mais totalement impuissantes.

    La caméra de 'news.infos' de Terry George, souvent sur le qui-vive,  se veut un véritable témoin du drame comme pour plonger le spectateur horrifié au cœur du conflit. La scène de l'attaque du fourgon des Nations Unies, rempli de Tutsi, par la milice hutu en est l'un des points forts. Quelquefois, elle se pose pour immortaliser des moments poignants comme le désarroi des Tutsi regroupés sous le porche de l'hôtel lorsque les armées étrangères et leurs ressortissants quittent le pays,  les laissant à la merci des assaillants. Toutefois,  la caméra ne s'attarde jamais sur des actes de cruauté mais les laisse aisément deviner.

    Un film dur mais nécessaire,  témoin dix ans après d'un crime perpétué contre l'humanité auquel n'importe qui doit être sensibilisé.''


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  • Il y a des gens qui forcent l'admiration, il y en a pas mal en fait...
    Certains sont sous les feux de la rampe et puis d'autres s'activent tout aussi bien, peut-être mieux même tapis dans l'ombre....

    Aujourd'hui, moi, j'avais envie de parler d'elle parce qu'après ma Mère, je crois bien que c'est une des femmes que j'admire le plus...
    Elle a traversé tout comme beaucoup de nos familles, une époque tourmentée ou trop d' hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie dans des conditions horribles...
    Passé ce drame, il y a eu des engagements et bien des années après, elle se battait encore pour nous les femmes... A ce titre et pour bien d'autres encore, je pense qu'elle mérite notre respect...

                                                                SIMONE VEIL

                                                               


     Déportée à l'âge de 17 ans à Auschwitz, Simone Weil épouse en 1946 Antoine Veil, futur collaborateur de Michel Debré et membre fondateur du Centre démocrate. Après des études de droit et de sciences politiques à l'IEP de Paris, Simone Veil devient magistrate. En 1969, elle entre en politique en rejoignant le cabinet de René Pleven, Garde des Sceaux. Mais sa véritable carrière politique démarre au début du septennat de Valéry Giscard d'Estaing ; ayant décidé de féminiser son gouvernement, il l'appelle au ministère de la Santé. Elle libéralise l'accès à la contraception et s'illustre faisant voter en 1975, la loi portant son nom sur l'interruption volontaire de grossesse. Ardente militante européenne, elle conduit la liste UDF aux premières élections européennes de 1979. Elue député, elle devient la première femme présidente du Parlement européen (1979-1982). En 1993, elle quitte ses mandats européens et rejoint le gouvernement Balladur pour s'occuper des Affaires sociales, de la Santé et de la ville, et devient la première femme ministre d'Etat. Depuis 1998, elle est membre du Conseil constitutionnel. Parallèlement, Simone Veil soutient de nombreuses associations à vocation européenne, telle que le Fonds européen pour la liberté d'expression, ou encore la Fondation de l'Europe des sciences et de la culture, dont elle est présidente d'honneur.


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  •                                                                                           
    Ma liberté
    longtemps je t'ai gardée
    comme une perle rare.
    Ma liberté,
    c'est toi qui m'as aidé
    à larguer les amarres,
    pour aller n'importe où
    pour aller jusqu'au bout
    des chemins de fortune,
    pour cueillir en rêvant
    une rose des vents
    sur un rayon de lune!

    Ma liberté
    devant tes volontés
    ma vie était soumise
    ma liberté,
    je t'avais tout prêté
    ma dernière chemise
    Et combien j'ai souffert
    pour pouvoir satisfaire
    toutes tes exigences!
    J'ai changé de pays,
    j'ai perdu mes amis
    pour garder ta confiance!

    Ma liberté,
    tu as su désarmer
    mes moindres habitudes
    ma liberté,
    toi qui m'as fait aimer
    même la solitude.
    Toi qui m'as fait sourire
    quand je voyais finir une belle aventure,
    toi qui m'a protégé
    quand j'allais me cacher
    pour soigner mes blessures!

    Ma liberté,
    pourtant je t'ai quittée
    une nuit de décembre.
    J'ai déserté
    les chemins écartés
    que nous suivions ensembles,
    lorsque, sans me méfier,
    les pieds et poings liés
    je me suis laissé faire,
    et je t'ai trahi
    pour une prison d'amour
    et sa belle geôlière!
    et je t'ai trahi
    pour une prison d'amour
    et sa belle geôlière!

                 Paroles: Georges Moustaki chanté par Serge Reggiani.


     D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré  cette chanson..... Ma liberté, je ne t'ai point trahi ...
    Je t'ai offert plus de grandeur en la partageant avec celui sans qui je ne serais plus libre, justement....

                                                                                                         




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  •                                     

    Au détours d'une de vos photos vous êtes abandonnée, sensuelle, seulement éveillée dans vos rêves.

    J'ai suivi tous vos contours du doigt, des doigts, souffle court, retenu.
    Tremblant un peu d'excitation. Trouvant mon doigt grossier pour une telle épure...
    Vous avez du aimer, tant vos photos sont un éclat de vous.

    Curieux de le savoir, j'ai voulu transmettre dans l'éther le plaisir de ce toucher, partager avec vous, si seule là-bas au loin.
    Je vous ai prise ...sur photoshop ! ! !

    Utilisant le lasso, je vous ai fixée.
    Attirée toute à moi ... Plume, pinceaux, vous ont détourés, avec patience, application, douceur, ne laissant aucun pixel par vous ignoré.

    Des heures, pour vous dégager du fond et ne garder que les formes.

    J'ai troublé votre image à petites touches de flou, annulant chaque fois pour voir si ... vous sentiriez cette émotion des corps.
    J'ai su que nous avions atteint un niveau, un état de communication intense, quand l'ordinateur s'est brutalement planté !

    Il n'y a pas d'erreur, vous me percevez !...



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